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Le blog de Najim

Citation n°7

25 Janvier 2008, 20:49pm

Publié par Najim

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" Pourquoi les personnes en couple demandent toujours aux célibataires comment vont les amours, est-ce que nous on leur saute dessus pour savoir s'ils baisent encore... "

Le journal de Bridget Jones
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L
<br /> <br /> Viens ici, toi.<br /> Viens ici, et soumets-toi aux désirs de ton roi.<br /> Viens goûter aux caresses,<br /> celles de mes mains parcourant tes formes de déesse,<br /> de tes gracieuses épaules à tes jolies fesses,<br /> suivant tes courbes invitantes,<br /> séduisantes, appétissantes,<br /> pétrissant tes seins généreux<br /> de femme engrossée,<br /> flattant ton ventre volumineux<br /> où l’on sent quelque chose grouiller.<br /> Suivant la courbe du dos ou remontant les cuisses,<br /> atteindre ce paradis luxurieux,<br /> théâtre de plaisirs délicieux.<br /> Un religieux parlerait de turpitude, de bassesse,<br /> en référence à la courbure ballonneuse de tes fesses.<br /> Au fond de lui même, il s’imaginerait t’empalant,<br /> cognant dans ton séant si invitant,<br /> dans un moment de faiblesse honteuse.<br /> Pouvoir profiter d’un séant à la chair généreuse,<br /> d’une rondeur si exquise, au temple rose affriolant,<br /> aux lèvres vaginales béantes et pendantes,<br /> comme des portes ouvertes invitantes.<br /> <br /> Dans mon haras, tu donnes des érections à mes étalons,<br /> quand à leurs yeux tu dévoiles les orifices de ton sillon,<br /> à quatre pattes les jambes bien écartées.<br /> Les mâles qui reniflent ta cyprine qui ne cesse de couler,<br /> tu t’amuses à les exciter.<br /> Je t’ai vu rigoler,<br /> en entendant les chevaux hennir en se cabrant,<br /> comme des chevaux sauvages vous désarçonnant.<br /> Ils deviennent dingues, ils ruent et veulent se libérer,<br /> pour pouvoir te sauter.<br /> Mes gardes eunuques ont été blessés,<br /> voulant maîtriser les bêtes excitées.<br /> <br /> Laisse ton maître prendre soin de toi,<br /> laisse ton corps profiter des bontés de ton roi.<br /> Calée dans mes grosses oreillers,<br /> remonte ta croupe et laisse moi te chevaucher,<br /> comme le ferait un étalon de mon haras avec sa belle,<br /> la plus désirable des femelles.<br /> Laisse mon dard te butiner,<br /> ma belle fleur adorée.<br /> Mon plus grand plaisir, c’est de licher ton sillon,<br /> le nez enfoncé entre tes orifices,<br /> ma langue dans tes lèvres. Quel délice,<br /> de sentir ta croupe se chauffer, se mouiller,<br /> vibrer, frémir de plaisir.<br /> Te faire jouir avant de t’envahir.<br /> <br /> Étendue sur mon lit, enlève ta robe de soie.<br /> Cesse de frotter ta vulve, donne la moi.<br /> Laisse entrer dans ta jungle humide<br /> mon membre en érection, en ébullition,<br /> pointé comme un canon,<br /> fièrement dressé droit devant, prêt pour sa mission:<br /> bombarder ta grande vallée.<br /> Jouons de nos sexes, mélangeons nos fluides.<br /> Tes deux temples bientôt canonnés, les murs maculés.<br /> Des graffitis pour montrer que par là je suis passé.<br /> Fais plaisir à ton roi,<br /> écarte tes cuisses humides, que j’entre en toi.<br /> <br /> De grands frissons te parcourent,<br /> ton corps me demande de lui faire l’amour,<br /> jusqu’au petit jour.<br /> <br /> À quatre pattes, les cuisses écartées sous ton ventre,<br /> je vais te donner un plaisir qui va te surprendre.<br /> Devant la splendeur de sa voluptueuse et divine majesté,<br /> l’on ne peut que tomber agenouillé,<br /> en révérence s’incliner,<br /> genoux au sol, sceptre disposé à vous honorer.<br /> En salutation déférente, sa majesté sera sauvagement baisée.<br /> <br /> Ta croupe, de champagne pétillant bien arrosée,<br /> tes orifices mouillés,<br /> dans tes trésors de jouissance je vais glisser.<br /> Ma plume dans ton encrier,<br /> de ton corps, le plus chaud des poèmes je vais composer.<br /> Au fer rouge brûlant, ton vagin je vais le marquer.<br /> La verge de fer va te damner.<br /> <br /> Tu vis d’amour et de semence fraîche.<br /> Tu l’aimes bien remplie ta grosse pêche.<br /> Dans ton premier temple, le puissant bélier d’attaquer.<br /> Je te fais vibrer de coups de hanches sans pitié.<br /> Une friction lancinante, brutale,<br /> animale.<br /> À quatre pattes, tes pintes de se balancer,<br /> contre ton menton venant frapper.<br /> Ton gros ventre rond de se faire secouer.<br /> Cris, gémis, je veux entendre ta voix,<br /> les louanges de tes plaisirs procurés par ton roi.<br /> Tu le sens qui te chatouille le ventre, mon sexe chaud ?<br /> Je veux jouir en toi, ton corps est si beau.<br /> Collé à l’arrière de tes chaudes cuisses,<br /> repliées entre les miennes, le bélier glisse,<br /> membre viril qui se délecte dans ton sillon refermé.<br /> Il se fait délicieusement chatouiller,<br /> frottant entre tes dunes comprimées.<br /> <br /> Tu jouis si fort, tu m’excites. Agrippé à ta crinière,<br /> je fais des ravages dans tes arrières.<br /> Tu jouis si fort, tu vas finir par les faire bander,<br /> les gardes eunuques émasculés.<br /> Ne crie pas si fort, j’ai un invité !<br /> Le roi d’Angleterre George VI n’est pas loin, couché.<br /> À notre banquet, tu l’as suffisamment allumé,<br /> par ton spectacle de baladi déhanché et débauché.<br /> Ton entrejambe et sa jungle à forte humidité.<br /> Comment as-tu osé la lui montrer ?<br /> <br /> Si Rommel est le renard du désert,<br /> moi je suis le veinard du désert,<br /> depuis le jour où je t’ai pris ta virginité,<br /> dans une furie sexuelle débridée.<br /> Tu jouissais tellement de ton vagin perforé,<br /> criant, hurlant, avec tes ongles acérés,<br /> me lézardant le dos comme une chatte agitée.<br /> Ton portail du temple ensanglanté,<br /> dans mon dos mon sang tu avais fais couler.<br /> Les cicatrices de nos ébats je continue de porter.<br /> Blessures de guerre,<br /> le prix à payer pour que je te conquière.<br /> <br /> Tu aimes çà, quand je me déchaîne dans ta niche.<br /> Tu sors ta langue et tu te délices.<br /> <br /> Tu en jouis un bon coup,<br /> la sueur te coule de partout.<br /> Dieu que çà mouille dans ton minou !<br /> De tes griffes tu lézardes un oreiller,<br /> les plumes de s’envoler.<br /> Avec hardiesse je te cavale,<br /> avec rudesse je t’empale.<br /> <br /> Tu aimes l’amour féroce, qui nous fait grimacer,<br /> sortir les crocs. Fatalement la verge a éclatée,<br /> la sève a jaillit<br /> et j’ai échappé un cri.<br /> <br /> Et maintenant, passons au grand coup.<br /> Dans ton autre temple, je vais me rendre jusqu’au bout.<br /> Tourne toi sur le dos, mets tes pieds à ton cou.<br /> Mets-le vers le ciel ton trou.<br /> Je te sangle les poignets aux barreaux,<br /> parce que lorsque sodomisée,<br /> tu deviens agitée, enflammée.<br /> De jouissance tu risques d’exploser.<br /> Tu pourrais me griffer,<br /> m’attaquer comme une bête sauvage déchaînée.<br /> Bien attachée, je vais pouvoir te dilater en toute sécurité. Enfin, j’ose l’espérer.<br /> <br /> Juste à effleurer ton trou du gland,<br /> et tu montres les dents.<br /> Tu fais une gueule de bête assoiffée,<br /> désireuse d’être chevauchée.<br /> Vos désirs les plus intimes je ne puis qu’exaucer.<br /> Je ne veux que plaire à sa majesté.<br /> De champagne le membre viril arrosé,<br /> forçons la porte de la profonde cité.<br /> L’antre s’ouvrant, non sans un effort musclé, <br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> <br /> Exploration<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> D'un geste de la main<br /> <br /> <br /> Tu balayes mes cheveux<br /> <br /> <br /> Et en retires un parfum<br /> <br /> <br /> Au fumet délicieux.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Tu soulèves une mèche,<br /> <br /> <br /> Découvres mes joues innocentes,<br /> <br /> <br /> Puis le bout d’une l'oreille<br /> <br /> <br /> Que tu suces et lèches<br /> <br /> <br /> Et dont tu suis alors la pente<br /> <br /> <br /> Jusqu’à mes merveilleux orteils.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Chemin faisant,<br /> <br /> <br /> Tu tombes devant<br /> <br /> <br /> Deux beaux seins lourds,<br /> <br /> <br /> Formidables fours<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Où tu pétris ma chair<br /> <br /> <br /> Et mon coeur,<br /> <br /> <br /> Où tu irais dépenser un salaire<br /> <br /> <br /> Et ta sueur.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Continuant le périple,<br /> <br /> <br /> Tu atteins le mont Venus<br /> <br /> <br /> Et par des caresses multiples<br /> <br /> <br /> Tu lui redonnes du bonus.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Enfin, d'un bras décidé<br /> <br /> <br /> Tu retournes la belle<br /> <br /> <br /> Et plonges entre ses fesses écartées<br /> <br /> <br /> Pour y faire reluire ta langue de miel.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Alors tu suces mon anus<br /> <br /> <br /> Et toutes ses humides rives<br /> <br /> <br /> Jusqu’à ce que je tortille du cul<br /> <br /> <br /> Et qu'orgasme s'en suive !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> TES  YEUX<br /> <br /> <br />  Chaque matin tu te lèves sur moi comme le soleil<br /> <br /> <br /> Inondant chaque jour, d’une pluie de merveilles<br /> <br /> <br /> Tu me cueilles tendrement, comme la rose qui s’éveille<br /> <br /> <br /> Qui s’étire et se tend, cherchant le bleu du ciel<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Et ce bleu, si intense, je le trouve dans tes yeux<br /> <br /> <br /> Quand sur moi ils se posent, tout devient fabuleux<br /> <br /> <br /> Même le rouge de la rose, vient se teinter de bleu<br /> <br /> <br /> Comme le peint ton regard quand il est amoureux<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Et puis passe le jour, près de toi mon amour<br /> <br /> <br /> Sans pouvoir ralentir ces minutes qui courent<br /> <br /> <br /> Puis la nuit qui revient, pour réclamer son tour<br /> <br /> <br /> Prend ton cœur et le mien, dans sa main de velours<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Puis le bleu s’assombrit, aux couleurs de la nuit<br /> <br /> <br /> Reflétant les étoiles, qui s’animent sans bruit<br /> <br /> <br /> Dans tes yeux qui se ferment, je vois l’astre qui luit<br /> <br /> <br /> Allongée près de toi, m’endormant, je souris<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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S
<br /> <br /> pas mal comme citation en plus c est la pure verité lol<br /> <br /> <br /> <br />
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S
Elle a raison Bridget ! Sinon toujour opé nivo son Najim ca fé plaisir !! BIZ
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